"Je ne suis pas un gros mangeur, je suis juste gros et je mange", aurait déclaré Alfred Hitchcock.
Ses films présentent pourtant un amour considérable pour la nourriture. Il faut dire que le maître du suspense était le fils d'un grossiste en volailles, fruits & légumes qui lui transmit l'amour de la bonne cuisine. Lors du tournage de l'Étau, Philippe Noiret raconta qu'Hitch interrompit la prise pour lui demander son avis sur le pâté qu'il venait de manger.
Avec son embonpoint qui le faisait complexer, mais lui permis d'avoir une silhouette reconnaissable entre mille, aussi culte que celle de Charlot ou Mr. Hulot, Hitchcock fait partie de ces réalisateur ogre. De ceux qui "dévoraient" leur actrice, les sadisant à l'envi.
Dans ses films, la bouffe joue souvent un rôle de premier plan :
- Dans La Corde, un cadavre est caché dans une malle sur laquelle est posé un apéro dînatoire.
- Dans Pyschose, Norman Bates offre un sandwich à Marion Crane, façon de l'appâter dans son antre du mal.
- Dans Agent Secret, le héros se déguise en épicier pour confondre des espions.
- Dans Fenêtre sur cour, Grace Kelly, censée symboliser la femme parfaite, apporte à James Stewart un repas qui est... "Parfait, comme d'habitude !"
- Dans Les Enchaînés, une discussion sur le poulet vient interrompre une scène de baiser.
- Dans Rebecca, le malaise de Rebecca est souligné par son flagrant manque d'appétit à table.
Ses films étaient aussi le moyen de faire apparaître à l'écran les plats qu'il affectionnait le plus. On l'a déjà vu, le cinéma aime bien la "Ouiche". Hitch aussi puisqu'il est particulièrement amateur de cuisine française. Dans La Main au collet, Cary Grant fait découvrir à un agent d'assurance la fameuse quiche lorraine. Ce dernier s'enthousiasme : "C'est délicieux ! Et la pâte est légère comme l'air !"
On recommande enfin le livre La Sauce était presque parfaite, où l'on peut apprendre à faire chez soi la caille aux raisins de Frenzy, le poulet dixie des Oiseaux ou les choux à la crème du Grand Alibi.
La Main au collet (1955), d'Alfred Hitchcock, avec Cary Grant, Grace Kelly
Ses films présentent pourtant un amour considérable pour la nourriture. Il faut dire que le maître du suspense était le fils d'un grossiste en volailles, fruits & légumes qui lui transmit l'amour de la bonne cuisine. Lors du tournage de l'Étau, Philippe Noiret raconta qu'Hitch interrompit la prise pour lui demander son avis sur le pâté qu'il venait de manger.
Avec son embonpoint qui le faisait complexer, mais lui permis d'avoir une silhouette reconnaissable entre mille, aussi culte que celle de Charlot ou Mr. Hulot, Hitchcock fait partie de ces réalisateur ogre. De ceux qui "dévoraient" leur actrice, les sadisant à l'envi.
Dans ses films, la bouffe joue souvent un rôle de premier plan :
- Dans La Corde, un cadavre est caché dans une malle sur laquelle est posé un apéro dînatoire.
- Dans Pyschose, Norman Bates offre un sandwich à Marion Crane, façon de l'appâter dans son antre du mal.
- Dans Agent Secret, le héros se déguise en épicier pour confondre des espions.
- Dans Fenêtre sur cour, Grace Kelly, censée symboliser la femme parfaite, apporte à James Stewart un repas qui est... "Parfait, comme d'habitude !"
- Dans Les Enchaînés, une discussion sur le poulet vient interrompre une scène de baiser.
- Dans Rebecca, le malaise de Rebecca est souligné par son flagrant manque d'appétit à table.
Ses films étaient aussi le moyen de faire apparaître à l'écran les plats qu'il affectionnait le plus. On l'a déjà vu, le cinéma aime bien la "Ouiche". Hitch aussi puisqu'il est particulièrement amateur de cuisine française. Dans La Main au collet, Cary Grant fait découvrir à un agent d'assurance la fameuse quiche lorraine. Ce dernier s'enthousiasme : "C'est délicieux ! Et la pâte est légère comme l'air !"
On recommande enfin le livre La Sauce était presque parfaite, où l'on peut apprendre à faire chez soi la caille aux raisins de Frenzy, le poulet dixie des Oiseaux ou les choux à la crème du Grand Alibi.
La Main au collet (1955), d'Alfred Hitchcock, avec Cary Grant, Grace Kelly
Commentaires
Enregistrer un commentaire